Un peu d’actus : Manifestation contre les réformes du gouvernement macron, Sarkozy devant les juges, le Bitcoin atteint de nouveaux sommets, et remise en question au FMI.

En réponses aux réformes promises lors de sa campagne puis à présent appliquées par Emmanuel Macron, les différents groupes d’oppositions sont descendus dans les rues de France, à plusieurs reprises lors des dernières semaines. Les principaux points de désaccords portent sur la réforme du code du travail, la réduction des aides sociales, et la suppression de l’impôt sur la fortune. En effet, Emmanuel apparaît comme un président au service de la classe dominante économiquement dans la mesure où aucune des réformes énoncées ci-dessus ne se justifient économiquement selon les économistes Jean Tirole et Thomas Piketty.

En parallèle, celui qui fut autre fois à sa place doit faire face aux juges et risque jusqu’à 10 ans de prison pour corruption et trafic d’influence. Il va sans dire que les nombreux ennemis de Nicolas Sarkozy attendent avec impatience de le voir de nouveau devant les juges.

A l’international maintenant, deux sociopathes pourris gâtés sont arrivés à la tête de puissances nucléaires et pourraient bien tout envoyer dans le vent si les modérateurs de Twitter ne trouvent pas une solution au conflit qui les oppose depuis maintenant presque un mois.

Un peu d’économie maintenant, les trafficants du monde entier (et les épargnants chinois) ont encore augmenté leurs fortunes puisque le Bitcoin a dépassé la barre des 6000 USD pour la première fois depuis sa création par l’obscur Mr. Satoshi en 2010 . Il est difficile d’expliquer les raisons de cette soudaine hausse (environ 10 % en une semaine), mais on peut affirmer sans aucun doute que les tentatives d’intimidation du marché lancées dans les derniers mois pour déstabiliser le bitcoin ont échouées. Les différents analystes des crypto-monnaies vont même jusqu’à prédire un bitcoin à 10k USD d’ici 2018. Just hodl !

De l’autre côté au FMI, on reconnaît que les politiques économiques défendues et imposées sans résultats dans tous les pays en crise depuis le début des années 90 ne sont peut-être pas judicieuses pour rétablir une économie saine.

Un vent de révolte souffle sur la France

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